Le recouvrement de créances par GEVO.

Le recouvrement de créances par GEVO. Le mot recouvrement de créances a une connotation négative alors qu’il s’agit de prestataires de services qui sont au service de votre trésorerie. Souvent dans l’imaginaire populaire ces entreprises sont considérées comme ayant des pouvoirs extraordinaires pour faire payer les factures en retard. La filmographie présente des « gros brais » qui ne reculent devant aucune violence pour arriver à leur fin c’est-à-dire soustraire de l’argent au débiteur. Enfin des intérêts de retard supérieurs à la créance sont réclamés au débiteur sous la menace de terribles sévices.
La réalité est toute autre. Le recouvrement de créances est un métier règlementé pas toujours facile et qui nécessite beaucoup de rigueur dans les procédures et un très grand sens de la psychologie. Il faut convaincre celui qui doit de l’argent qu’il y va de son intérêt de trouver un accord à l’amiable. Personne ni le créancier, ni la société de recouvrement, ni le débiteur n’a intérêt à diligenter une procédure judiciaire.
Pourquoi faire appel au recouvrement de créances par GEVO ? Tour simplement parce que nous sommes des professionnels et nous nous occupons d’encaisser les impayés toute l’année. De ce fait nous avons acquis une expertise et un savoir-faire que nos entreprises clientes ne possèdent pas.
Le recouvrement de créances par GEVO concerne essentiellement des factures impayées entre professionnels. Les outils et procédures disponibles pour le recouvrement entre professionnels sont efficaces, rapides et pas trop couteux. L’entreprise face à des impayés s’insurge bien souvent quant aux frais et honoraires qu’elle doit exposer pour se faire payer. Il faut tenir compte que les entreprises de recouvrement ont également des objectifs financiers à atteindre et que malheureusement car ils sont envoyés trop tard ou parce que le débiteur est insolvable un grand nombre de dossiers sont traités gratuitement sans rémunération d’aucune sorte.
Le recouvrement de créances par GEVO a comme spécialité l’encaissement des impayés à l’étranger. Grâce à nos implantations dans les plus grands pays européens nous sommes à même de vous assister pour le recouvrement en Italie, Pour le recouvrement en Allemagne, pour le recouvrement en Suisse, pour le recouvrement en Angleterre, pour le recouvrement en Hollande, pour le recouvrement au Portugal et bien d ‘autres pays.
Le recouvrement de créances par GEVO c’est mettre toutes les chances de votre côté pour éviter de passer une provision dans vos comptes suite à un impayé. Pour votre Bilan il sera toujours plus positif de payer une facture d’honoraire de succès que de passer une somme importante en pertes et profits.
Le recouvrement de créances par GEVO des professionnels au service de votre trésorerie.

Le recouvrement de créances impayées à l’étranger.

Le recouvrement de créances impayées à l’étranger est un parcours semés de difficultés et d’obstacles pour l’entreprise exportatrice. Il existe de nombreux dispositifs de garantie et d’assurance pour les clients qui se situent hors des frontières. Bien souvent ils ne sont pas adaptés à la réalité des affaires en matière de coût ou de réactivité. Le monde des affaires nécessite une décision rapide faute de perdre la commande. Développer son activité commerciale dans un pays étranger est complexe et fastidieux, et nécessite bien souvent de lourds investissements.
Quand une commande est enregistrée l’entreprise va souvent y donner suite même si le paiement n’est pas entouré des garanties suffisantes. La direction commerciale et la direction financière seront d’accord pour aller de l’avant car pour l’une elle voit par cette occasion une manière d’atteindre ses objectifs et pour l’autre une maniéré de couvrir les investissements à l’exportation.
Les financiers vont chercher à couvrir le risque en recherchant des informations financières qu’ils auront du mal à valider. Comment appréhender la forme juridique du client qui ne correspond pas à celles qui sont connues dans le pays d’origine. Comment appréhender la qualité de l’information fournie car là encore chaque pays a des règles particulières pour ce qui concerne les informations financières publiées ou non au registre du Commerce.
Les particularités d’un recouvrement de créances impayées à l’étranger ne seront pas abordées lors de la prise de décision quant à l’acceptation de la commande.
Puis de temps en temps le problème du paiement va se poser. Le client ne répond pas aux relances, il évoque des litiges de qualité du produit ou de livraison non conforme. Que faire pour le recouvrement de créances impayées à l’étranger ? Les choix sont multiples : intervention de l’avocat de l’entreprise qui fera appel à son correspondant local s’il en a un, visite domiciliaire par le commercial, intervention téléphonique du service comptable qui bien souvent se heurtera à la barrière de la langue et aux comportements spécifiques au pays de destination de la marchandise.
Le recouvrement de créances impayées à l’étranger sera efficace s’il est confié à un professionnel local. Attendre, donner des délais supplémentaires au client défaillant ne sont pas des attitudes à adopter.
En matière de recouvrement de créances impayées à l’étranger le temps est le plus grand ennemi. Chaque jour qui passe sans enregistrer le paiement augmente de manière exponentielle que le recouvrement de créances impayées à l’étranger soit un fiasco. L’intervention du professionnel de recouvrement a bien sur un coût mais il sera sans commune mesure avec le fait de passer en perte l’intégralité de la facture impayée.
Georges Vonfelt

LES ENTREPRISES SANS LES CABINETS DE RECOUVREMENT

Que feraient les entreprises sans les cabinets de recouvrementSlide-4
La fédération allemande des métiers du recouvrement s’est posé la question.
L’Allemagne dont l’économie est florissante, les budgets publics largement excédentaires, ou règne le plein emploi et ou les délais de paiement sont plus courts et plus respectés qu’en France ne peut se passer des services des entreprises du recouvrement.
Quelques chiffres sont explicites
Plus de 500.000 entreprises allemandes font appel à un spécialiste du recouvrement
Et ce sont par an plus de 19 millions de retards de paiement qui leur sont confiés.
En Allemagne comme en France les spécialistes du recouvrement privilégient l’approche amiable et une grande majorité des dossiers qui nous sont confiés se règlent en dehors de toute procédure judiciaire.
Si les sociétés de recouvrement n’existaient pas ce serait une avalanche de dossiers qui viendraient encombrer nos Tribunaux qui sont déjà largement congestionnés.
En chiffre ce sont 5 Milliards d’euros par an qui sont restitués aux entreprises par les sociétés de recouvrement. Sans cette somme colossale les entreprises seraient dans l’obligation d’augmenter leurs prix punissant par là même ceux qui paient leurs factures en temps et en heure.

Georges Vonfelt
GEVO Recouvrement de Créances

Comment rendre profitable la coopération avec une société de recouvrement ?

Un partenariat avec une société de recouvrement va vous aider à encaisser des créances qui sinon auraient du certainement être passées en pertes.

La société de recouvrement va vous débarrasser de la gestion des 20 % de clients qui provoquent 80 % de vos problèmes. Mais si cette coopération se fait sur de mauvaises bases il y aura de nombreux quiproquos. Soit vous avez transmis des créances trop anciennes et vous êtes déçus du manque de résultat, soit vous avez transmis des créances trop récentes et vous êtes agacés par la facture d’honoraire alors que vous estimez que vous auriez pu encaisser cette créance vous-même.

Si la coopération se fait sur des bases solides les deux partenaires vont en tirer avantage.

Les règles suivantes sont à respecter:
• Mise en place d’un processus interne qui évitera que les créances soient transmises trop tôt ou trop tard
• Transmettez un dossier complet avec toutes les informations utiles
• Suivez les conseils du cabinet de recouvrement ce sont des professionnels ils savent ce qu’ils font.
• Ne négocier pas avec un débiteur qui vous contacte en direct pour contourner les actions entreprises par le cabinet de recouvrement.
• Donnez au cabinet de recouvrement une chance de vous prouver son savoir-faire en lui transmettant un dossier qui peut être recouvré.
Il faut mettre en place un agenda afin que les dossiers ne soient transmis ni trop tôt n trop tard à la société de recouvrement. Cet agenda dépendra de votre business model de votre branche d’activité et de la manière dont vous organisez vos relances. Il faut cependant prendre en considération que si un de vos clients ne réagit à aucune de vos relances c’est qu’il a décidé de ne plus traiter avec vous. Il est alors temps de confier son dossier au recouvrement.

Quand une société de recouvrement met la pression sur un débiteur celui-ci aura bien souvent la réaction de contacter directement son fournisseur. Si le fournisseur accepte de négocier en direct la société de recouvrement aura perdu toute capacité d’exercer un ascendant psychologique sur le débiteur. Et au prochain problème le débiteur utilisera de la même méthodologie pour obtenir des délais de paiement et un crédit fournisseur gratuit.

Recouvrer des impayés est un métier difficile. Un très grand nombre de dossiers reçus ne sera jamais encaissé et ce quels que soient les méthodes employées et les efforts consentis. Changer de manière permanente de partenaire recouvrement est un mauvais calcul. Il faut confier des affaires qui peuvent être menées à leur terme puis construire une relation durable de partenariat.

Evolution judicaire pour les frais de recouvrement.

Depuis 2012 en France suite à la publication l’article L 411-6 du code de commerce il est prévu que les frais de recouvrement y compris les honoraires de succès soient mis à la charge du débiteur.

Dans les années qui ont suivi ce texte, son application a été freinée par le Tribunaux, les juges s’opposant à son application et maintenant l’indemnisation du créancier sur la seule base de l’article 700 du code de procédure civile. Comme évoqué dans nos précédentes publications le statut des juges commerciaux est particulier du fait qu’il ne s’agit pas de juges professionnels.

Dans de nombreux jugements les Tribunaux décidaient de ne pas appliquer les dispositions d’ l’article L 411-6 pour ce qui concerne les honoraires et frais de recouvrement.

Jusqu’en 2014 il n’existe quasiment aucune décision favorable au créancier pour ce qui concerne les frais. Les Tribunaux de Paris et de Nanterre étaient ceux qui s’opposaient le plus à ces nouvelles dispositions.

Depuis 2016 la situation s’est considérablement améliorée, de plus en plus de jugements accordant le remboursement des frais et honoraires de succès au créancier.

Les Tribunaux de Paris et Nanterre ont complément changé leur façon de voir et acceptent que soient mis à la charge du débiteur les frais de recouvrement y compris l’honoraire de succès.

Le problème qui subsiste c’est qu’il faille intenter une procédure contentieuse, synonymes de coûts importants, pour obtenir la prise en charge de ces frais. Une telle procédure ne fait pas de sens si à son terme il s’avère que le débiteur est insolvable. Il est indispensable de vérifier au préalable quelles sont les chances de recouvrer l’impayé avant de se lancer dans une procédure qui peut durer de 12 à 18 mois.

Les petites créances sont exclues de cet avantage car leur montant ne justifie pas une action en justice. Il est urgent que le législateur français se penche sur la question des petites créances qui cumulées peuvent atteindre des sommes considérables.

Georges Vonfelt
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De l’importance de la signature en droit français

Les artisans et de manière générale tous ceux qui accordent du crédit fournisseur à leurs clients se doivent de veiller à la signature par leurs clients des commandes, devis et bons de livraison.

Ceux qui négligent cette condition risquent d’avoir des soucis si le client venait à contester la réalité des travaux, la livraison ou la conformité des biens commandés et donc refuser le paiement.

La cour de Cassation le 11 octobre 2017 a statué sur les faits suivants : un artisan avait réalisé des travaux pour un agriculteur sans faire signer de devis. A la fin des travaux ceux-ci ont été contestés par le client au motif qu’il n’avait pas signé de devis. L’artisan n’a pu fournir que des témoignages d’entreprises ayant travaillé sur le chantier. Mais la cour de Cassation a décidé que ces témoignages n’étaient pas suffisants car au-delà de 1.500 € de travaux un devis signé est obligatoire.

L’artisan n’a pas pu faire condamner son client à lui payer les factures qu’il avait établies même si les travaux avaient bien été réalisés.

La prévention des impayés passe impérativement par le respect du formalisme et l’obtention de signatures sur les documents commerciaux, pour les professionnels celle-ci doit être accompagnée du cachet commercial du client.

Arrêt du 11 Octobre 2017 Numero 16-22507.

Les frais de saisie sur compte bancaire.

Les frais de saisie sur compte bancaire facturés par les banques à leurs clients atteignent des montants considérables parfois supérieurs à la dette elle-même. En moyenne en 2017 les frais facturés par les banques pour une dette de 120 € s’élèvent à 103€.
Dans certaines banques ce sont 145 € qui sont facturés pour une dette de 120 €.
Si l’on rajoute les frais mis en compte par les huissiers on aboutit à une situation ubuesque. Les petites gens, les gens modestes finissent par entrer dans une spirale d’endettement par les frais qui sont mis à leur charge pour une facture impayée de faible montant.
La loi de finance a prévu de contraindre les banques à plus de modération.
Une disposition de la loi de finance a prévue de cantonner les frais que peuvent facturer les banques à 10 % des sommes dues, une mesure pleine de bon sens.
Georges Vonfelt
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Retards de paiement des fournisseurs de nouvelles sanctions.

Des retards de paiement de leurs fournisseurs ayant été constatés chez certaines grandes entreprises celles-ci viennent de faire l’objet de sanctions de la part de la Direction de la Concurrence. Ces sanctions sont constitués par des amendes qui peuvent aller jusqu’à 375.000 €.
Les entreprises concernées sont entre autres Canal + International, Sephora filiale de LVMH, Technip et Walt Disney. Des noms prestigieux qui démontrent que l’administration française fait son travail.
De nouvelles règles vont être édictées en matière de délais de paiement dans le cadre de la Loi Pacte (Plan d’Action pour la croissance et la transformation des entreprises) qui est annoncée pour le Printemps 2018.
Georges Vonfelt
www.gevo.fr

La distribution commerciale.

Grâce à l’omniprésence des réseaux sociaux et d’Internet nous sommes tous persuadés que la distribution commerciale de produits ne peut se passer d’internet. Pour utiliser un acronyme à la mode en dehors des GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon) pas de salut.
Même s’il est manifeste que la société Amazon fait une percée considérable dans la distribution commerciale atteignant en 2017 le sixième rang des distributeurs mondiaux, les chiffres collectés font ressortir des données qui tempèrent cette information.
En effet il ressort d’une étude effectuée par Deloitte que 90 % des ventes de détail dans le monde sont encore effectués par des magasins en « dur ». Le commerce traditionnel a encore de beaux jours devant lui, même s’il ne peut négliger la montée en puissance du commerce virtuel.
Il semble par contre selon la même étude que les grands magasins ont du souci à se faire, leur concept semble voué à disparaitre.
Le leader mondial « Walmart « réalise à lui seul dans ses magasins le montant considérable de 485 milliards de dollar de chiffre d’affaire, soit presque 4 fois plus qu’Amazon.
La distribution commerciale virtuelle ne cesse de progresser mais aucun fabricant ne peut négliger le commerce traditionnel.

Georges Vonfelt

Les pièges à éviter dans les conditions de paiement.

Tout retard par rapport aux délais de paiement accordés à vos clients est en fait et selon l’orthodoxie financière une remise supplémentaire accordée par le fournisseur.

De quoi faut-il tenir compte pour fixer vos délais de paiement ?

Dans tous les cas il faut prendre en compte les obligations légales. En France par exemple la Loi a fixé le délai maximum de paiement à 60 jours de la date de facturation.

Il est un concept qu’il est utile de prendre en considération c’est celui du flux de trésorerie de votre client.

Dans la restauration par exemple les fournisseurs livrent plusieurs fois par semaine. Les clients du restaurateur paient eux comptant. Il serait anormal, contreproductif et un non-sens de gestion d’accorder aux restaurateurs un délai de paiement de 60 jours.

Dans le domaine de la confection les marchandises livrées sont achetées par les consommateurs entre 4 et 6 mois plus tard. Le détaillant ne sera pas en mesure de payer son stock au bout de 30 jours sauf à obtenir de son banquier un crédit de trésorerie ce qui n’est pas toujours évident à l’heure actuelle. Le fournisseur devra mettre en place des dates de valeur ou de plans de paiement pour s’adapter aux flux de trésorerie spécifiques de ce type de clients.

Le fournisseur qui pour ses délais de paiement ne prend pas en compte les flux de trésorerie de ses propres clients s’expose à des retards de paiement, à des factures impayées et à des dossiers de recouvrement contentieux.